Nina Chalot est designer. Elle vit et travaille à Sète.
Sa pratique se situe à la frontière du design, de la performance, de la sociologie. Elle navigue entre les échelles et les enjeux, transversalité qui lui permet de porter un regard croisé, chaque fois enrichi de nouvelles manières de transformer le réel. Elle conjugue actuellement le développement de projets artistiques et des collaborations avec différentes structures dans le domaine de la scénographie, de la mode, de l’architecture et de la danse, abordant les thèmes de la transformation de la matière, du travail, de la migration. Elle enseigne par ailleurs la céramique et le design. Elle crée avec le brodeur Farooq Gul l'association we came from.
•
chalotnina@gmail.com
•
Développement du site internet Adrien Goua
Traductions Gabriel Di Battista
Entrez dans le panorama et partez à la rencontre d’artistes en devenir, d’artistes devenus. Que signifie être artiste aujourd’hui ? PANORAMA, c’est une invitation à parcourir le Théâtre de la Cité internationale et ses environs comme une table de montage cinématographique. Au fil des déplacements, séquence par séquence, lieu après lieu, c’est un documentaire inédit de ces jeunes artistes au travail qui se fabrique. Chaque séquence mène ainsi à une rencontre, tantôt fortuite, parfois distanciée, souvent intime ou invisible. Ces artistes, tous récemment diplômés d’écoles nationales d’art, y interrogent leur émergence au monde dans le temps du réel, dans un dialogue des pensées les plus intimes, dans les inspirations et les convictions qu’ils se partagent. Quelle que soit la discipline, la forme, le style, toutes ces propositions mélangent des univers singuliers et une vision commune de la création pour façonner un palimpseste géant, un chantier constamment en élaboration, qui résonne dans tout l’espace du Théâtre de la Cité internationale, intérieur et extérieur
Direction artistique Cyril Teste Assistantes à la direction artistique Eva Carmen Jarriau & Nina Chalot
Avec Olga Abolina (École du TNB) Alexandre Auvergne (CNSAD) Maria Aziz Alaoui (ESAD) Salomé Bloch (ENSATT) Maxime Crescini (École du Nord) Margot Delabouglise (éstba) Melisande Dorvault (ESAD) Jeanne Durouchoux (CNSMD-Paris) Mikaël-don Giancarli (CNSAD) Amélie Gratias (École du TNB) Antoine Heuillet (École du Nord) Antoine Kobi (CNSAD) Christian-Romain Kossa (ICI – Centre chorégraphique national de Montpellier) Agathe Lecat (CNSMD-Paris) Léo Martin (ENSATT) Balthazar Monge (éstba) Cesare Moretti (éstba) Georgia Tavares (ENSATT) Christophe Vauthey (ENSATT) Padrig Vion (CNSAD) Gauthier Wahl (ESAD) Margault Willkomm (École du TNS)
Dramaturgie Leila Adham Scénographie Nina Chalot Design graphique & Signalétique Jauneau Vallance Workshop culinaire Céline Pelcé Broderie Farooq Gul - association we came from Lumière & Régie générale Julien Boizard Cadreur-opérateur Nicolas Doremus Ingénieur du son Thibault Lamy Vidéo Mehdi Toutain-Lopez Administration & Production Ludivine Rhein & Anaïs Cartie
PANORAMA par les étudiants boursiers de la première promotion Artistes dans la Cité, avec Cyril Teste, Théâtre de la Cité internationale, Paris, 2022 © Simon Gosselin / Fondation d’entreprise Hermès
Entrez dans le panorama et partez à la rencontre d’artistes en devenir, d’artistes devenus. Que signifie être artiste aujourd’hui ? PANORAMA, c’est une invitation à parcourir le Théâtre de la Cité internationale et ses environs comme une table de montage cinématographique. Au fil des déplacements, séquence par séquence, lieu après lieu, c’est un documentaire inédit de ces jeunes artistes au travail qui se fabrique. Chaque séquence mène ainsi à une rencontre, tantôt fortuite, parfois distanciée, souvent intime ou invisible. Ces artistes, tous récemment diplômés d’écoles nationales d’art, y interrogent leur émergence au monde dans le temps du réel, dans un dialogue des pensées les plus intimes, dans les inspirations et les convictions qu’ils se partagent. Quelle que soit la discipline, la forme, le style, toutes ces propositions mélangent des univers singuliers et une vision commune de la création pour façonner un palimpseste géant, un chantier constamment en élaboration, qui résonne dans tout l’espace du Théâtre de la Cité internationale, intérieur et extérieur
Direction artistique Cyril Teste Assistantes à la direction artistique Eva Carmen Jarriau & Nina Chalot
Avec Olga Abolina (École du TNB) Alexandre Auvergne (CNSAD) Maria Aziz Alaoui (ESAD) Salomé Bloch (ENSATT) Maxime Crescini (École du Nord) Margot Delabouglise (éstba) Melisande Dorvault (ESAD) Jeanne Durouchoux (CNSMD-Paris) Mikaël-don Giancarli (CNSAD) Amélie Gratias (École du TNB) Antoine Heuillet (École du Nord) Antoine Kobi (CNSAD) Christian-Romain Kossa (ICI – Centre chorégraphique national de Montpellier) Agathe Lecat (CNSMD-Paris) Léo Martin (ENSATT) Balthazar Monge (éstba) Cesare Moretti (éstba) Georgia Tavares (ENSATT) Christophe Vauthey (ENSATT) Padrig Vion (CNSAD) Gauthier Wahl (ESAD) Margault Willkomm (École du TNS)
Dramaturgie Leila Adham Scénographie Nina Chalot Design graphique & Signalétique Jauneau Vallance Workshop culinaire Céline Pelcé Broderie Farooq Gul - association we came from Lumière & Régie générale Julien Boizard Cadreur-opérateur Nicolas Doremus Ingénieur du son Thibault Lamy Vidéo Mehdi Toutain-Lopez Administration & Production Ludivine Rhein & Anaïs Cartie
PANORAMA par les étudiants boursiers de la première promotion Artistes dans la Cité, avec Cyril Teste, Théâtre de la Cité internationale, Paris, 2022 © Simon Gosselin / Fondation d’entreprise Hermès
Scénographie et collaboration à la direction artistique du défilé Hermès homme, hiver 2023.
Collection Véronique Nichanian Direction artistique Cyril Teste Création du contenu vidéo Hugo Arcier Captation Benoit Debbie Cyril Teste Expertise vidéo et captation Mehdi Toutain-Lopez Réalisation live Remy Doang NGuyen Lumière Julien Boizard Assistant à la mise en scène Sylvère Santin Crédits photographiques Dham Srifuengfung
Scénographie et collaboration à la direction artistique du défilé Hermès homme, hiver 2023.
Collection Véronique Nichanian Direction artistique Cyril Teste Création du contenu vidéo Hugo Arcier Captation Benoit Debbie Cyril Teste Expertise vidéo et captation Mehdi Toutain-Lopez Réalisation live Remy Doang NGuyen Lumière Julien Boizard Assistant à la mise en scène Sylvère Santin Crédits photographiques Dham Srifuengfung
La présence du four du XVIIIème en activité sur le territoire du Centre International d’Art et du Paysage positionne la boulangerie en interlocuteur principal pour de nombreux visiteurs. Il existe pour certains une opposition perçue entre d’une part un artisanat authentique et accessible et d’autre part un centre d’Art International.
Ancien animateur et éducateur, Benoit Brissot, gestionnaire de la «Pierre à pain», souhaite promouvoir une pratique de la boulangerie ouverte à plusieurs facettes : expérimentale, pédagogique et culturelle. Nous entammons avec lui une réflexion sur le positionnement et l'image de la boulangerie afin de valoriser ses nombreuses collaborations avec des artistes et d'inscrire durablement l'activité de la boulangerie en harmonie avec l'écosystème singulier de l'île de Vassivière.
Avec Emilie Hirayama
Boulanger Benoit Brissot
La présence du four du XVIIIème en activité sur le territoire du Centre International d’Art et du Paysage positionne la boulangerie en interlocuteur principal pour de nombreux visiteurs. Il existe pour certains une opposition perçue entre d’une part un artisanat authentique et accessible et d’autre part un centre d’Art International.
Ancien animateur et éducateur, Benoit Brissot, gestionnaire de la «Pierre à pain», souhaite promouvoir une pratique de la boulangerie ouverte à plusieurs facettes : expérimentale, pédagogique et culturelle. Nous entammons avec lui une réflexion sur le positionnement et l'image de la boulangerie afin de valoriser ses nombreuses collaborations avec des artistes et d'inscrire durablement l'activité de la boulangerie en harmonie avec l'écosystème singulier de l'île de Vassivière.
Avec Emilie Hirayama
Boulanger Benoit Brissot
Scénographie et collaboration à la direction artistique du défilé de la collection Hermès homme été 2022 .
Collection Véronique Nichanian Direction artistique Cyril Teste Captation Benoit Debbie Cyril Teste Réalisation live Mehdi Toutain-Lopez Nicolas Dorémus Lumière Julien Boizard Assistants à la mise en scène Céline Gaudier Sylvère Santin Crédits photographiques Dham Srifuengfung
Scénographie et collaboration à la direction artistique du défilé de la collection Hermès homme été 2022 .
Collection Véronique Nichanian Direction artistique Cyril Teste Captation Benoit Debbie Cyril Teste Réalisation live Mehdi Toutain-Lopez Nicolas Dorémus Lumière Julien Boizard Assistants à la mise en scène Céline Gaudier Sylvère Santin Crédits photographiques Dham Srifuengfung
Farooq est brodeur, originaire d’Afghanistan. Alors demandeur d’asile, lui vient l’idée de broder sur son sweatshirt le nom de sa ville d’origine: Kabul. Ce geste simple sonne comme un manifeste, un besoin de visibilité, d’existence. Par cette action, il détourne les vêtements touristiques aux noms des grandes capitales occidentales, inversant le modèle de valeurs.
Design graphique Jauneau Vallance Photographies François Prost
Farooq est brodeur, originaire d’Afghanistan. Alors demandeur d’asile, lui vient l’idée de broder sur son sweatshirt le nom de sa ville d’origine: Kabul. Ce geste simple sonne comme un manifeste, un besoin de visibilité, d’existence. Par cette action, il détourne les vêtements touristiques aux noms des grandes capitales occidentales, inversant le modèle de valeurs.
Design graphique Jauneau Vallance Photographies François Prost
Scénographie et collaboration à la direction artistique du défilé Hermès collection homme hiver 2022.
Collection Véronique Nichanian Direction artistique Cyril Teste Captation live Cyril Teste Réalisation live Mehdi Toutain-Lopez Nicolas Dorémus Lumière Julien Boizard Assistants à la mise en scène Céline Gaudier Sylvère Santin
Scénographie et collaboration à la direction artistique du défilé Hermès collection homme hiver 2022.
Collection Véronique Nichanian Direction artistique Cyril Teste Captation live Cyril Teste Réalisation live Mehdi Toutain-Lopez Nicolas Dorémus Lumière Julien Boizard Assistants à la mise en scène Céline Gaudier Sylvère Santin
Les cinq films de la série “Sortis d’usine” sont construits autour d’objets du quotidien. Présents dans chaque instant de nos journées, ils sont tellement anodins qu’ils en deviennent presque invisibles. Pourtant, le processus de fabrication qui leur donne vie est fascinant.
Brique, enveloppe, balai brosse, trombone sont notre point de départ. Glânés au fil du temps, nous en avons formés des collections. Nous souhaitons les mettre en scène en réalisant de courts films montrant leur fabrication et leur variété de formes. Chaque objet est l’occasion d’aller à la rencontre d’une usine en France et d’en montrer son patrimoine humain et industriel.
À chaque typologie son histoire, et ses protagonistes : les ouvriers des usines, la matière, les outils, les machines, les objets.
Avec Émilie Hirayama.
Son Thibault Lamy et Lucie Damianthe
Une commande du Centre Pompidou dans le cadre de la web-série Mon Oeil.
Les cinq films de la série “Sortis d’usine” sont construits autour d’objets du quotidien. Présents dans chaque instant de nos journées, ils sont tellement anodins qu’ils en deviennent presque invisibles. Pourtant, le processus de fabrication qui leur donne vie est fascinant.
Brique, enveloppe, balai brosse, trombone sont notre point de départ. Glânés au fil du temps, nous en avons formés des collections. Nous souhaitons les mettre en scène en réalisant de courts films montrant leur fabrication et leur variété de formes. Chaque objet est l’occasion d’aller à la rencontre d’une usine en France et d’en montrer son patrimoine humain et industriel.
À chaque typologie son histoire, et ses protagonistes : les ouvriers des usines, la matière, les outils, les machines, les objets.
Avec Émilie Hirayama.
Son Thibault Lamy et Lucie Damianthe
Une commande du Centre Pompidou dans le cadre de la web-série Mon Oeil.
J’aime que soit présent l’artisan, le travail ; qu’on y sente à la fois la force de la communauté et le chaos du chantier » Martin Rauch
Monter sur la crête de cette colline de Saint-Amand-Le-Petit, battue par les vents et la pluie, exposée au soleil. Sur le chemin, à droite, derrière la stabulation dans la pente : la carrière de terre. Face à vous, trois “éprouvettes” de près de trois mètres de haut en pisé que les éléments commencent à altérer. La terre crue, poreuse et friable, n’aime pas l’eau. Trois de ces éprouvettes comportent des inclusions de terre cuite émaillée, imperméables et pérennes, qui ralentissent la vitesse de l’eau et modulent l’érosion. C’est notre hypothèse.
Les observer en détail. Les toucher. Comment se comporte le témoin de pisé nu face à l’action de la pluie ? Les lignes en terre cuite continues permettent-elles de mieux maîtriser l’érosion du totem voisin ? En divisant de moitié la matière durcie par des fours énergivores, le pisé de la troisième éprouvette résiste-t-il de manière tout aussi satisfaisante ? Aidez-nous à décrire l’évolution au fil des saisons du pisé pour chacune de ces éprouvettes, en participant au protocole d’observation proposé près de l’œuvre.
En collaboration avec Nicolas Bouisson et Hugo Crespy de FORALL, Studio d'architecture
Le projet a été financé par la Caisse des Dépots et consignations et commandité par le Centre International d'Art et du Paysage à Vassivière.
Partenaires et soutiens au projet Erosion : Daurian Vauzelle – M.A.M.O.T.H. architecture, l’association HUDA de Peyrat-le-Château, Les Rairies Montrieux, l’exploitation de carrière ROCA de Saint-Julien-le-Petit et la Commune de Saint-Amand-le-Petit.
J’aime que soit présent l’artisan, le travail ; qu’on y sente à la fois la force de la communauté et le chaos du chantier » Martin Rauch
Monter sur la crête de cette colline de Saint-Amand-Le-Petit, battue par les vents et la pluie, exposée au soleil. Sur le chemin, à droite, derrière la stabulation dans la pente : la carrière de terre. Face à vous, trois “éprouvettes” de près de trois mètres de haut en pisé que les éléments commencent à altérer. La terre crue, poreuse et friable, n’aime pas l’eau. Trois de ces éprouvettes comportent des inclusions de terre cuite émaillée, imperméables et pérennes, qui ralentissent la vitesse de l’eau et modulent l’érosion. C’est notre hypothèse.
Les observer en détail. Les toucher. Comment se comporte le témoin de pisé nu face à l’action de la pluie ? Les lignes en terre cuite continues permettent-elles de mieux maîtriser l’érosion du totem voisin ? En divisant de moitié la matière durcie par des fours énergivores, le pisé de la troisième éprouvette résiste-t-il de manière tout aussi satisfaisante ? Aidez-nous à décrire l’évolution au fil des saisons du pisé pour chacune de ces éprouvettes, en participant au protocole d’observation proposé près de l’œuvre.
En collaboration avec Nicolas Bouisson et Hugo Crespy de FORALL, Studio d'architecture
Le projet a été financé par la Caisse des Dépots et consignations et commandité par le Centre International d'Art et du Paysage à Vassivière.
Partenaires et soutiens au projet Erosion : Daurian Vauzelle – M.A.M.O.T.H. architecture, l’association HUDA de Peyrat-le-Château, Les Rairies Montrieux, l’exploitation de carrière ROCA de Saint-Julien-le-Petit et la Commune de Saint-Amand-le-Petit.
La trottinette électrique remplace la marche, mais elle ne remplace pas la voiture. Sous couvert de liberté individuelle sans limite et de mobilité extrême et débridée, l’usager se déplace sans mouvement. Lui et son véhicule fusionnent temporairement en une nouvelle entité. L’homme-trottinette et la femme-trottinette se déplacent par translation dans le référentiel ville, de manière uniforme et inerte. Ils accélèrent comme s’ils étaient libres, mais ils ne font pas un geste, ils sont privés de mouvement. Ils vont seuls. Quelques gestes infimes subsistent tout de même. Des gestes absents. Nous inventorions ce vocabulaire étroit et silencieux. Il nous faut l’approprier, l’amplifier et le réincarner dans la danse. Déplacer l’inertie. Retrouver de la liberté dans ces mouvements immobiles.
Collaboration avec Romain Delamart Performers Rémi N'Guyen, Flora Langlois, Flora Fixi, Florence Campana, Hugues Couverchel, Alix Maheke, Hélène Combal-Weiss.
La trottinette électrique remplace la marche, mais elle ne remplace pas la voiture. Sous couvert de liberté individuelle sans limite et de mobilité extrême et débridée, l’usager se déplace sans mouvement. Lui et son véhicule fusionnent temporairement en une nouvelle entité. L’homme-trottinette et la femme-trottinette se déplacent par translation dans le référentiel ville, de manière uniforme et inerte. Ils accélèrent comme s’ils étaient libres, mais ils ne font pas un geste, ils sont privés de mouvement. Ils vont seuls. Quelques gestes infimes subsistent tout de même. Des gestes absents. Nous inventorions ce vocabulaire étroit et silencieux. Il nous faut l’approprier, l’amplifier et le réincarner dans la danse. Déplacer l’inertie. Retrouver de la liberté dans ces mouvements immobiles.
Collaboration avec Romain Delamart Performers Rémi N'Guyen, Flora Langlois, Flora Fixi, Florence Campana, Hugues Couverchel, Alix Maheke, Hélène Combal-Weiss.
Les retoucheries sont des espaces de liberté : indépendants, les retoucheurs et retoucheuses travaillent les vêtements standards pour les faire devenir uniques. Leur domaine d’action est infini. Leur regard et l’attention portée à ces objets en série, parfois de mauvaise facture, les fait devenir précieux. Il en résulte des semi-produits, ourlets et surpiqués par le bas, parfois présentant un élément d’ornementation, et ouverts par le haut.
Retouches est un tapis en dégradé réalisé à partir de chutes de bas de pantalons glanés dans les boutiques de retouches des 18ème, 19ème et 20ème arrondissements de Paris. Il réunit les fragments non utilisés de pantalons portés par les habitants de ces quartiers et en révèle les individualités au travers des matières, des couleurs et des formats. Il met aussi en avant des similarités : la prédominance du jean, des couleurs plutôt froides et sombres.
Collaboration avec Romain Delamart
Les retoucheries sont des espaces de liberté : indépendants, les retoucheurs et retoucheuses travaillent les vêtements standards pour les faire devenir uniques. Leur domaine d’action est infini. Leur regard et l’attention portée à ces objets en série, parfois de mauvaise facture, les fait devenir précieux. Il en résulte des semi-produits, ourlets et surpiqués par le bas, parfois présentant un élément d’ornementation, et ouverts par le haut.
Retouches est un tapis en dégradé réalisé à partir de chutes de bas de pantalons glanés dans les boutiques de retouches des 18ème, 19ème et 20ème arrondissements de Paris. Il réunit les fragments non utilisés de pantalons portés par les habitants de ces quartiers et en révèle les individualités au travers des matières, des couleurs et des formats. Il met aussi en avant des similarités : la prédominance du jean, des couleurs plutôt froides et sombres.
Collaboration avec Romain Delamart
Tabourets réalisés par Karam Katerji dans la cadre du programme d’insertion d’artisans migrants de l’association La Fabrique nomade.
Originaire de Hassaka en Syrie, pays de terres agricoles, Karam étudie à l’université d’Alep pour devenir ingénieur agronome. De retour dans sa ville d’origine après ses études, il ouvre un atelier avec son frère de fabrication de pièces de machines agricoles. Il vit en France depuis 2016.
Réalisation Karam Katerji, accueilli par l’atelier Métal design
Tabourets réalisés par Karam Katerji dans la cadre du programme d’insertion d’artisans migrants de l’association La Fabrique nomade.
Originaire de Hassaka en Syrie, pays de terres agricoles, Karam étudie à l’université d’Alep pour devenir ingénieur agronome. De retour dans sa ville d’origine après ses études, il ouvre un atelier avec son frère de fabrication de pièces de machines agricoles. Il vit en France depuis 2016.
Réalisation Karam Katerji, accueilli par l’atelier Métal design
À travers plus de 300 documents se déploie une galerie éloquente de protagonistes, qu’ils soient marchands, commissaires-priseurs, experts ou bien encore conservateurs de musées. Pour bien comprendre le rôle de chacun dans le contexte historique, on entre dans le lieu de leurs agissements : galeries d’art parisiennes, salles de ventes aux enchères à Paris mais également à Nice. La scénographie immerge le visiteur dans ces univers suggérés, où les documents d’archives prennent le rôle d’élément du décor.
Commanditaire Mémorial de la Shoah Commissariat scientifique Emmanuelle Polack Commissariat et coordination Marie-Édith Agostini Scénographie Nina Chalot pour RF Studio Signalétique Atelier Baudelaire Créations Audiovisuelles Matthieu Foulet Créations Sonores Bertrand Gauguet
À travers plus de 300 documents se déploie une galerie éloquente de protagonistes, qu’ils soient marchands, commissaires-priseurs, experts ou bien encore conservateurs de musées. Pour bien comprendre le rôle de chacun dans le contexte historique, on entre dans le lieu de leurs agissements : galeries d’art parisiennes, salles de ventes aux enchères à Paris mais également à Nice. La scénographie immerge le visiteur dans ces univers suggérés, où les documents d’archives prennent le rôle d’élément du décor.
Commanditaire Mémorial de la Shoah Commissariat scientifique Emmanuelle Polack Commissariat et coordination Marie-Édith Agostini Scénographie Nina Chalot pour RF Studio Signalétique Atelier Baudelaire Créations Audiovisuelles Matthieu Foulet Créations Sonores Bertrand Gauguet
Scénographie pour la pièce de théâtre Opening Night mise en scène par Cyril Teste, d’après le scénario du film de John Cassavetes.
Avec Isabelle Adjani, Morgan Lloyd Sicard et Frédéric Pierrot Mise en scène Cyril Teste Direction artistique Ramy Fischler Scénographie Nina Chalot pour RF Studio Création lumière et régie générale Julien Boizard Musique originale Nihil Bordures Vidéo Nicolas Doremus Vidéo en direct Mehdi Toutain-Lopez Chef opérateur son Thibault Lamy Costumes Katia Ferreira Direction de production Nicolas Roux Chargée de production Julie Salles
Scénographie pour la pièce de théâtre Opening Night mise en scène par Cyril Teste, d’après le scénario du film de John Cassavetes.
Avec Isabelle Adjani, Morgan Lloyd Sicard et Frédéric Pierrot Mise en scène Cyril Teste Direction artistique Ramy Fischler Scénographie Nina Chalot pour RF Studio Création lumière et régie générale Julien Boizard Musique originale Nihil Bordures Vidéo Nicolas Doremus Vidéo en direct Mehdi Toutain-Lopez Chef opérateur son Thibault Lamy Costumes Katia Ferreira Direction de production Nicolas Roux Chargée de production Julie Salles
Fondée sur la coexistence d’images filmiques et scéniques, la scénographie entend ouvrir une réflexion sur l’articulation entre vérité et représentation. Elle consiste en un dispositif d’écrans en mouvement capable tout à la fois de suggérer l’enfermement des personnages et la circulation permanente des corps à l’intérieur du huis-clos.
Direction musicale Louis Langrée Mise en scène Cyril Teste Direction artistique Ramy Fischler Scénographie Nina Chalot pour RF Studio Costumes Isabelle Deffin Dramaturgie Leila Adham Lumières Julien Boizard Conception Vidéo Nicolas Dorémus Mehdi Toutain-Lopez
Hamlet Stéphane Degout Ophélie Sabine Devieilhe Claudius Laurent Alvaro Gertrude Sylvie Brunet-Grupposo Laërte Julien Behr Le Spectre Jérôme Varnier Chœur Les éléments Orchestre des Champs-Élysées
Fondée sur la coexistence d’images filmiques et scéniques, la scénographie entend ouvrir une réflexion sur l’articulation entre vérité et représentation. Elle consiste en un dispositif d’écrans en mouvement capable tout à la fois de suggérer l’enfermement des personnages et la circulation permanente des corps à l’intérieur du huis-clos.
Direction musicale Louis Langrée Mise en scène Cyril Teste Direction artistique Ramy Fischler Scénographie Nina Chalot pour RF Studio Costumes Isabelle Deffin Dramaturgie Leila Adham Lumières Julien Boizard Conception Vidéo Nicolas Dorémus Mehdi Toutain-Lopez
Hamlet Stéphane Degout Ophélie Sabine Devieilhe Claudius Laurent Alvaro Gertrude Sylvie Brunet-Grupposo Laërte Julien Behr Le Spectre Jérôme Varnier Chœur Les éléments Orchestre des Champs-Élysées
La Fondation Bettencourt Schueller présente l’exposition « Pour l’intelligence de la main» dont le commissariat est assuré par Alain Lardet dans le cadre de l’exposition internationale dédiée aux métiers d’art européens «Homo Faber, crafting a human future» organisée par la fondation Michelangelo à la fondation Giorgio Cini à Venise. La scénographie propose un parcours à la fois physique et virtuel qui questionne le rapport entre l’artisanat d’art et la modernité. Elle est conçue en deux temps : une découverte physique des œuvres et une immersion virtuelle dans les ateliers d’artisans d’art. Cette installation, composée de murs en terre crue réalisés par l’atelier d’Amàco, est une prouesse artisanale. Elle valorise le développement de pratiques éco-responsables et met en exergue l’avenir des métiers d’art au temps de la technologie.
Commanditaire Fondation Bettencourt Schueller Commissaire Alain Lardet Direction artistique Ramy fischler Chef de projet et coordination Vincent le Bourdon pour RF Studio Conception scénographique Nina Chalot pour RF Studio Signalétique Atelier Baudelaire Vidéo mapping Nicolas Weyrich Réalisation des murs en terre crue Amàco Réalisation des films en réalité virtuelle Alain Fleischer Production des films Le Fresnoy Expertise pour la diffusion des films MK2 Agency Création olfactive Francis Kurdjian
La Fondation Bettencourt Schueller présente l’exposition « Pour l’intelligence de la main» dont le commissariat est assuré par Alain Lardet dans le cadre de l’exposition internationale dédiée aux métiers d’art européens «Homo Faber, crafting a human future» organisée par la fondation Michelangelo à la fondation Giorgio Cini à Venise. La scénographie propose un parcours à la fois physique et virtuel qui questionne le rapport entre l’artisanat d’art et la modernité. Elle est conçue en deux temps : une découverte physique des œuvres et une immersion virtuelle dans les ateliers d’artisans d’art. Cette installation, composée de murs en terre crue réalisés par l’atelier d’Amàco, est une prouesse artisanale. Elle valorise le développement de pratiques éco-responsables et met en exergue l’avenir des métiers d’art au temps de la technologie.
Commanditaire Fondation Bettencourt Schueller Commissaire Alain Lardet Direction artistique Ramy fischler Chef de projet et coordination Vincent le Bourdon pour RF Studio Conception scénographique Nina Chalot pour RF Studio Signalétique Atelier Baudelaire Vidéo mapping Nicolas Weyrich Réalisation des murs en terre crue Amàco Réalisation des films en réalité virtuelle Alain Fleischer Production des films Le Fresnoy Expertise pour la diffusion des films MK2 Agency Création olfactive Francis Kurdjian
Recherches autour de la production locale d’éléments architecturaux préfabriqués en béton et céramique destinés à la rénovation et à la construction de nouveaux logements, dans un quartier populaire de Los Teques, ville préfecture de l’état de Miranda, située au nord de Caracas. Ces éléments répondent au climat tropical, à la tradition plastique colorée et contrastée présente au Venezuela, aux moyens de productions en oeuvre sur place, et au plaisir de l’appropriation.
Projet lauréat de l’Aide Individuelle à la Création de la Drac Île de France 2017. Finaliste de la bourse Agora pour le design, Ministère de la Culture 2017.
Directeurs de diplôme Jean-François Parent, architecte directeur du Laboratoire International pour l'Habitat Populaire et Matt Sindall, designer.
Maire de Los Teques Francisco Garcés Avec l’aide d’Eqiom et de l’atelier Graines de Terre à Montreuil.
Recherches autour de la production locale d’éléments architecturaux préfabriqués en béton et céramique destinés à la rénovation et à la construction de nouveaux logements, dans un quartier populaire de Los Teques, ville préfecture de l’état de Miranda, située au nord de Caracas. Ces éléments répondent au climat tropical, à la tradition plastique colorée et contrastée présente au Venezuela, aux moyens de productions en oeuvre sur place, et au plaisir de l’appropriation.
Projet lauréat de l’Aide Individuelle à la Création de la Drac Île de France 2017. Finaliste de la bourse Agora pour le design, Ministère de la Culture 2017.
Directeurs de diplôme Jean-François Parent, architecte directeur du Laboratoire International pour l'Habitat Populaire et Matt Sindall, designer.
Maire de Los Teques Francisco Garcés Avec l’aide d’Eqiom et de l’atelier Graines de Terre à Montreuil.
L’exposition présentée à l’ENSCI-Les Ateliers puis à la maison de l’architecture d’Île de France fait l’hypothèse d’une histoire d’amour entre la fabrication industrielle et l’architecture, dont l’entremetteur serait le béton. Elle questionne cette relation via une série de pièces de formes – vidéos, interview sonore, livres, images imprimées, échange épistolaire, carte – et sous des points de vue – sociologique, architectural, politique, technique, personnel – à chaque fois différents.
Sous la direction de Christian Barani Graphisme Agnès Falandry Mécène Holcim France, Betocib, Cimbéton Conseil scientifique Pierre Vuillemin
L’exposition présentée à l’ENSCI-Les Ateliers puis à la maison de l’architecture d’Île de France fait l’hypothèse d’une histoire d’amour entre la fabrication industrielle et l’architecture, dont l’entremetteur serait le béton. Elle questionne cette relation via une série de pièces de formes – vidéos, interview sonore, livres, images imprimées, échange épistolaire, carte – et sous des points de vue – sociologique, architectural, politique, technique, personnel – à chaque fois différents.
Sous la direction de Christian Barani Graphisme Agnès Falandry Mécène Holcim France, Betocib, Cimbéton Conseil scientifique Pierre Vuillemin
1001 Pages en dégradé de bleus, reliées en 5 livres. Chaque page est trempée dans un bain d’encre, créant différents effets et compositions aléatoires. Ces livres ont été présentés lors de la soirée de gala Watermill dont le thème était les 1001 nuits de Shéhérazade.
Commisaires Robert Wilson et Noah Khoshbin
1001 Pages en dégradé de bleus, reliées en 5 livres. Chaque page est trempée dans un bain d’encre, créant différents effets et compositions aléatoires. Ces livres ont été présentés lors de la soirée de gala Watermill dont le thème était les 1001 nuits de Shéhérazade.
Commisaires Robert Wilson et Noah Khoshbin
Expérimentations formelles avec le matériau céramique. Travail de découpe de plaques, de modelage, de textures avec divers outils, engobes et émaux.
Centre André Malraux Dominique Le Gac
Expérimentations formelles avec le matériau céramique. Travail de découpe de plaques, de modelage, de textures avec divers outils, engobes et émaux.
Centre André Malraux Dominique Le Gac
avec Yaïr Barelli et les étudiantes et étudiants de l'école des Beaux-Arts de Beaune
avec Yaïr Barelli et les étudiantes et étudiants de l'école des Beaux-Arts de Beaune
La terre crue est poreuse, friable, peu coûteuse en énérgie, rugueuse, terne, épaisse. La terre cuite est stable, peut-être brillante, nécéssite une cuisson ou deux, douce, colorée, formée précisément. Je propose au groupe d’étudiant.e.s de mettre en place une démarche expérimentale autour de la technique du pisé, et des propriétés de ses composantes, en y ajoutant des déchets industriels de terre cuite émaillée.
Sur une invitation d'Indiana Collet Barquero
La terre crue est poreuse, friable, peu coûteuse en énérgie, rugueuse, terne, épaisse. La terre cuite est stable, peut-être brillante, nécéssite une cuisson ou deux, douce, colorée, formée précisément. Je propose au groupe d’étudiant.e.s de mettre en place une démarche expérimentale autour de la technique du pisé, et des propriétés de ses composantes, en y ajoutant des déchets industriels de terre cuite émaillée.
Sur une invitation d'Indiana Collet Barquero
Élèves en année préparatoire aux écoles d'art et élèves des pratiques amateures sont réunis sur le temps d'un week-end pour aborder le matériau céramique comme moyen de comprendre et de représenter lʼarchitecture qui les entoure. La villa Art nouveau qui accueille l'école d'art de Sète est un lieu unique présentant beaucoup dʼéléments dʼornementation et manufacturés, des savoir-faire aujourdʼhui perdus ou peu valorisés. On y trouve un travail remarquable du bois, du verre du staff, du marbre. Malheureusement certains de ces éléments sont dégradés, il leur manque un morceau, un pièce du puzzle. Durant ce workshop les étudiants seront amenés à sʼimpliquer envers les détails du bâti de leur lieu de vie et dʼétudes.
À l'invitation de Suzy Lelièvre et Marie-Claire Esposito.
Élèves en année préparatoire aux écoles d'art et élèves des pratiques amateures sont réunis sur le temps d'un week-end pour aborder le matériau céramique comme moyen de comprendre et de représenter lʼarchitecture qui les entoure. La villa Art nouveau qui accueille l'école d'art de Sète est un lieu unique présentant beaucoup dʼéléments dʼornementation et manufacturés, des savoir-faire aujourdʼhui perdus ou peu valorisés. On y trouve un travail remarquable du bois, du verre du staff, du marbre. Malheureusement certains de ces éléments sont dégradés, il leur manque un morceau, un pièce du puzzle. Durant ce workshop les étudiants seront amenés à sʼimpliquer envers les détails du bâti de leur lieu de vie et dʼétudes.
À l'invitation de Suzy Lelièvre et Marie-Claire Esposito.
À partir de représentations en élévation, reproduire, le plus fidèlement et avec les mains comme seul outil, les buildings les plus récents de la city de Londres. Trois couleurs sont proposées, celle de la terre et deux engobes gris et blancs.
Classe de 4ème de Margot Desjardins, Collège Travail Langevin, Bagnolet.
À partir de représentations en élévation, reproduire, le plus fidèlement et avec les mains comme seul outil, les buildings les plus récents de la city de Londres. Trois couleurs sont proposées, celle de la terre et deux engobes gris et blancs.
Classe de 4ème de Margot Desjardins, Collège Travail Langevin, Bagnolet.
L’actualité nous fait porter chaque jour un masque, qui nous cache plutôt qu’il nous dévoile. Originellement les masques du monde étaient réalisés
pour exprimer — la colère, la terreur, la folie. Je propose un atelier ou chaque enfant choisira un sentiment, une sensation, qu’il devra d’illustrer dans la réalisation d’un masque en céramique.
Avec Shikhar Bardhwaj
Commanditaires Centre Tignous d'art contemporain
Ville de Montreuil
L’actualité nous fait porter chaque jour un masque, qui nous cache plutôt qu’il nous dévoile. Originellement les masques du monde étaient réalisés
pour exprimer — la colère, la terreur, la folie. Je propose un atelier ou chaque enfant choisira un sentiment, une sensation, qu’il devra d’illustrer dans la réalisation d’un masque en céramique.
Avec Shikhar Bardhwaj
Commanditaires Centre Tignous d'art contemporain
Ville de Montreuil
Collection d'empreintes de mains et de pieds dans la terre, de différentes positions, expressions, morphologies. Création d’une texture ou d’un motif pouvant être répété à l’infini. L’expérimentation frôle la danse ou la performance. Nous n'utilisons pas d'outils.
Classe de CP d'Emilien Gardère, École Éléméntaire Arangon, Pantin.
Collection d'empreintes de mains et de pieds dans la terre, de différentes positions, expressions, morphologies. Création d’une texture ou d’un motif pouvant être répété à l’infini. L’expérimentation frôle la danse ou la performance. Nous n'utilisons pas d'outils.
Classe de CP d'Emilien Gardère, École Éléméntaire Arangon, Pantin.
Utiliser la machine d'extrusion de colombins pour réaliser de grandes formes en terre, puis les transformer en monstres. Faire de ces monstres une exposition dans le jardin.
Commanditaire Centre Tignous d'art contemporain
Utiliser la machine d'extrusion de colombins pour réaliser de grandes formes en terre, puis les transformer en monstres. Faire de ces monstres une exposition dans le jardin.
Commanditaire Centre Tignous d'art contemporain
Travail avec une classe de CP autour de l'architecture de leur école, à partir de leur vécu personnel des lieux.
École élémentaire Anatole France, Rouen.
Travail avec une classe de CP autour de l'architecture de leur école, à partir de leur vécu personnel des lieux.
École élémentaire Anatole France, Rouen.