Nina Chalot est designer. Elle vit et travaille à Sète.
Sa pratique se situe à la frontière du design, de la performance, de la sociologie. Elle navigue entre les échelles et les enjeux, transversalité qui lui permet de porter un regard croisé, chaque fois enrichi de nouvelles manières de transformer le réel. Elle conjugue actuellement le développement de projets artistiques et des collaborations avec différentes structures dans le domaine de la scénographie, de la mode, de l’architecture et de la danse, abordant les thèmes de la transformation de la matière, du travail, de la migration. Elle enseigne par ailleurs la céramique et le design. Elle crée avec le brodeur Farooq Gul l'association we came from.
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chalotnina@gmail.com
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Développement du site internet Adrien Goua
Traductions Gabriel Di Battista
En hommage à la rose et la porcelaine, matières qui lui sont chères et toutes deux originaires de Chine, le créateur de parfums Francis Kurkdjian imagine pour sa maison éponyme une installation artistique et olfactive révélée pour la première fois au grand public. Éclats de roses invite à suivre le voyage des pétales de porcelaine, fabriqués à la main et délicatement par fumés d’un parfum inédit composée par Francis Kurkdjian, qui s’envolent de la France jusqu’à la Chine et jusque dans une dimension numérique et onirique.
Direction artistique Cyril Teste Scénographie Nina Chalot Direction de projet Clément Arnoux Design graphique Jauneau Vallance Réalité augmentée Vincent Marin Bastien Duval Création Sonore Yannick Kalfayan Animation lumineuse Mehdi Toutain Lopez Construction Art Zhou
En collaboration avec la Manufacture de Sèvres
En hommage à la rose et la porcelaine, matières qui lui sont chères et toutes deux originaires de Chine, le créateur de parfums Francis Kurkdjian imagine pour sa maison éponyme une installation artistique et olfactive révélée pour la première fois au grand public. Éclats de roses invite à suivre le voyage des pétales de porcelaine, fabriqués à la main et délicatement par fumés d’un parfum inédit composée par Francis Kurkdjian, qui s’envolent de la France jusqu’à la Chine et jusque dans une dimension numérique et onirique.
Direction artistique Cyril Teste Scénographie Nina Chalot Direction de projet Clément Arnoux Design graphique Jauneau Vallance Réalité augmentée Vincent Marin Bastien Duval Création Sonore Yannick Kalfayan Animation lumineuse Mehdi Toutain Lopez Construction Art Zhou
En collaboration avec la Manufacture de Sèvres
Katia et Marielle Labèque interprètent les suites pour deux pianos tirées des trois opéras d'après Cocteau composés par Philip Glass, dans une scénographie conçue par Nina Chalot, une direction artistique de Cyril Teste et une création d'accords parfumés par Francis Kurkdjian.
Étudiant auprès de Nadia Boulanger de 1964 à 1966, Phil Glass est francophile – et son amour de la culture française ne se limite pas à la musique. Après sa trilogie de portraits (Einstein, Gandhi et Akhenaton), il se tourne pour ses opéras vers l’œuvre de Jean Cocteau. C’est ainsi qu’il revisite le mythe d’Orphée ainsi que La Belle et la Bête. Il clôture sa trilogie avec Les Enfants terribles, roman à la fois tragique et effroyablement léger, au cours duquel deux enfants gagneront une liberté imaginaire et sans limite, entre les quatre murs de leur chambre. Des sujets que la musique chamarrée et infinie de Glass épouse à merveille, sous les doigts de Katia et Marielle Labèque. Une savante alchimie à laquelle contribue la délicate création d'accords parfumés par Francis Kurkdjian.
piano Katia Labèque piano Marielle Labèque direction artistique Cyril Teste scénographie Nina Chalot création de parfums Francis Kurkdjian lumière et création numérique Mehdi Toutain-Lopez construction Atelier Blam production Marc Cardonnel
Production Philharmonie de Paris - Coproduction Barbican Centre, National Concert Hall - Dublin, Cité musicale - Metz, Opéra National de Bordeaux, La Comète Scène Nationale de Châlons-en-Champagne, Les Nuits de Fourvière. Avec le soutien de Maison Francis Kurkdjian. ©Denis Allard
Katia et Marielle Labèque interprètent les suites pour deux pianos tirées des trois opéras d'après Cocteau composés par Philip Glass, dans une scénographie conçue par Nina Chalot, une direction artistique de Cyril Teste et une création d'accords parfumés par Francis Kurkdjian.
Étudiant auprès de Nadia Boulanger de 1964 à 1966, Phil Glass est francophile – et son amour de la culture française ne se limite pas à la musique. Après sa trilogie de portraits (Einstein, Gandhi et Akhenaton), il se tourne pour ses opéras vers l’œuvre de Jean Cocteau. C’est ainsi qu’il revisite le mythe d’Orphée ainsi que La Belle et la Bête. Il clôture sa trilogie avec Les Enfants terribles, roman à la fois tragique et effroyablement léger, au cours duquel deux enfants gagneront une liberté imaginaire et sans limite, entre les quatre murs de leur chambre. Des sujets que la musique chamarrée et infinie de Glass épouse à merveille, sous les doigts de Katia et Marielle Labèque. Une savante alchimie à laquelle contribue la délicate création d'accords parfumés par Francis Kurkdjian.
piano Katia Labèque piano Marielle Labèque direction artistique Cyril Teste scénographie Nina Chalot création de parfums Francis Kurkdjian lumière et création numérique Mehdi Toutain-Lopez construction Atelier Blam production Marc Cardonnel
Production Philharmonie de Paris - Coproduction Barbican Centre, National Concert Hall - Dublin, Cité musicale - Metz, Opéra National de Bordeaux, La Comète Scène Nationale de Châlons-en-Champagne, Les Nuits de Fourvière. Avec le soutien de Maison Francis Kurkdjian. ©Denis Allard
Oeuvre in-situ en béton incrusté, à la cité radieuse de Le Corbusier à Briey-en-Forêt.
Réalisation et mise en oeuvre Les élèves en BTP des sections maçonnerie CAP 1ère et 2ème année de l'EREA Hubert Martin à Val de Briey, encadrés par leur professeur Cyrille Antonacio et ses collègues. Avec l'aide et à l'initiative de Véronique Léonard de l'association la Première Rue. Remerciements à Jean-Jacques Valès, Steven Vitale, Vincent Dietsch, les habitants et habitantes de la cité ©Vitale design ©Jean-Jacques Valès
Oeuvre in-situ en béton incrusté, à la cité radieuse de Le Corbusier à Briey-en-Forêt.
Réalisation et mise en oeuvre Les élèves en BTP des sections maçonnerie CAP 1ère et 2ème année de l'EREA Hubert Martin à Val de Briey, encadrés par leur professeur Cyrille Antonacio et ses collègues. Avec l'aide et à l'initiative de Véronique Léonard de l'association la Première Rue. Remerciements à Jean-Jacques Valès, Steven Vitale, Vincent Dietsch, les habitants et habitantes de la cité ©Vitale design ©Jean-Jacques Valès
On devine, dans la pratique créative de Nina Chalot, un élégant paradoxe. Mêlant action et fabrication, elle façonne en un tout harmonieux une matière insolite, à la fois virtuelle et concrète, à laquelle elle confère, dans une conception élargie du design, la consistance usuelle de l’objet fabriqué. « Comparée à la fugacité et à la fragilité de l’action humaine, explique Hannah Arendt, le monde édifié par la fabrication est d’une permanence durable et d’une immense solidité ». C’est à cette évanescence de l’action que s’attache généreusement Nina Chalot pour en transporter l’empreinte fugace dans l’univers solide de la fabrication.
Diplômée de l’École Nationale Supérieure de Création Industrielle, elle explore un champ problématique vaste, mais parfaitement défini, à la lisière de plusieurs disciplines. Son travail multiforme au contact de l’architecture, du théâtre, de la danse et de la mode, oscille entre le design et la scénographie : invention de procédés d’auto-construction en béton pour les habitants d’un quartier populaire au Venezuela, création de mobilier (avec Ronan et Erwan Bouroullec), de décors de théâtre et d’opéra (avec Ramy Fischler et Cyril Teste), de défilés pour Hermès, d’expositions… Par-delà la diversité de ses engagements, c’est notre relation contemporaine à la matière et à sa transformation que questionne Nina Chalot dans le flux de ses projets partagés, de ses résidences artistiques (New York, Vassivière), de ses ateliers d’enseignement... Attentive au réel ordinaire, elle semble donner corps à cette éthique héritée du Bauhaus permettant à l’artiste, selon les mots de Giulio Carlo Argan, de se construire à travers son expérience intime des choses « une façon lucide d’être au monde ».
Joseph Abram, Commissaire de l’exposition
Je remercie Joseph Abram pour son regard passioné et bienveillant qui m’apporte un nouvel éclairage, les membres de l’association la première rue pour leur accueil généreux, chaleureux et enthousiaste. Graphisme de l’exposition Jauneau Vallance Montage Valentin Wattier Pose des papiers peints et remise en peinture EREA Hubert Martin
On devine, dans la pratique créative de Nina Chalot, un élégant paradoxe. Mêlant action et fabrication, elle façonne en un tout harmonieux une matière insolite, à la fois virtuelle et concrète, à laquelle elle confère, dans une conception élargie du design, la consistance usuelle de l’objet fabriqué. « Comparée à la fugacité et à la fragilité de l’action humaine, explique Hannah Arendt, le monde édifié par la fabrication est d’une permanence durable et d’une immense solidité ». C’est à cette évanescence de l’action que s’attache généreusement Nina Chalot pour en transporter l’empreinte fugace dans l’univers solide de la fabrication.
Diplômée de l’École Nationale Supérieure de Création Industrielle, elle explore un champ problématique vaste, mais parfaitement défini, à la lisière de plusieurs disciplines. Son travail multiforme au contact de l’architecture, du théâtre, de la danse et de la mode, oscille entre le design et la scénographie : invention de procédés d’auto-construction en béton pour les habitants d’un quartier populaire au Venezuela, création de mobilier (avec Ronan et Erwan Bouroullec), de décors de théâtre et d’opéra (avec Ramy Fischler et Cyril Teste), de défilés pour Hermès, d’expositions… Par-delà la diversité de ses engagements, c’est notre relation contemporaine à la matière et à sa transformation que questionne Nina Chalot dans le flux de ses projets partagés, de ses résidences artistiques (New York, Vassivière), de ses ateliers d’enseignement... Attentive au réel ordinaire, elle semble donner corps à cette éthique héritée du Bauhaus permettant à l’artiste, selon les mots de Giulio Carlo Argan, de se construire à travers son expérience intime des choses « une façon lucide d’être au monde ».
Joseph Abram, Commissaire de l’exposition
Je remercie Joseph Abram pour son regard passioné et bienveillant qui m’apporte un nouvel éclairage, les membres de l’association la première rue pour leur accueil généreux, chaleureux et enthousiaste. Graphisme de l’exposition Jauneau Vallance Montage Valentin Wattier Pose des papiers peints et remise en peinture EREA Hubert Martin
Les façades de la Philharmonie, conçue par Jean Nouvel, sont recouvertes de nuées d’oiseaux d’aluminium aux formes et nuances variées. Et si ces oiseaux, parmi toutes les espèces qui transitent dans le parc de la Villette, prenaient vie et nous laissaient sur leur passage des mots, des sons ?
Cette expérience en réalité augmentée déploie le récit de leur cycle de vie saisonnier en trois chapitres. À travers le battement de leurs ailes et leur doux ballet, Les oiseaux de la Philharmonie nous invitent à prendre le temps. Le temps d’observer une danse dans le ciel, une symphonie naturelle et imperceptiblement familière. Les sons qui accompagnent leur vol encouragent l’imaginaire et composent une ornithologie onirique, révélée par l’univers graphique de l’application.
Nina Chalot et Cyril Teste, en étroite collaboration avec le Studio Blinkl et sur une création sonore originale du duo NOORG (Loïc Guénin et Éric Brochard), nous invitent à nous arrêter et à retrouver l’émerveillement face au poème que la nature nous offre chaque jour.
Direction artistique Nina Chalot Cyril Teste Création musicale NOORG Loïc Guenin et Eric Brochard Développement de l'expérience en réalité augmentée Studio Blinkl
Les façades de la Philharmonie, conçue par Jean Nouvel, sont recouvertes de nuées d’oiseaux d’aluminium aux formes et nuances variées. Et si ces oiseaux, parmi toutes les espèces qui transitent dans le parc de la Villette, prenaient vie et nous laissaient sur leur passage des mots, des sons ?
Cette expérience en réalité augmentée déploie le récit de leur cycle de vie saisonnier en trois chapitres. À travers le battement de leurs ailes et leur doux ballet, Les oiseaux de la Philharmonie nous invitent à prendre le temps. Le temps d’observer une danse dans le ciel, une symphonie naturelle et imperceptiblement familière. Les sons qui accompagnent leur vol encouragent l’imaginaire et composent une ornithologie onirique, révélée par l’univers graphique de l’application.
Nina Chalot et Cyril Teste, en étroite collaboration avec le Studio Blinkl et sur une création sonore originale du duo NOORG (Loïc Guénin et Éric Brochard), nous invitent à nous arrêter et à retrouver l’émerveillement face au poème que la nature nous offre chaque jour.
Direction artistique Nina Chalot Cyril Teste Création musicale NOORG Loïc Guenin et Eric Brochard Développement de l'expérience en réalité augmentée Studio Blinkl
Explorant la rareté des ressources-eaux comme celle de la rencontre, la Neuvième école propose We do not own the water, l’installation urbaine d’un objet fontaine, figure narrative d’une source perdue. L’eau n’a pas de circuit défini mais transpire à travers la matière, infuse en tout et cependant ne jaillit pas. C’est cette souveraineté, et son imprévisibilité, qu’incarne l’objet fontaine de la Neuvième école, fiction minérale, verticale et poreuse. Quelle conversation peut-on créer avec une eau que l’on ne gouverne pas ? En recherche d’une hospitalité radicale, et s’accordant avec la qualité fédératrice de l’eau, le collectif active cette fontaine à travers la mise en scène de gestes et de rencontres.
Collectif de la Neuvième école pour la Quadriennale de Prague de 2023 Sarah Barzic - École du Théâtre national de Strasbourg - TNS, Strasbourg. Hortense Gavriloff - École nationale supérieure d’architecture de Nantes - Ensa, Nantes. Blandine Granier - École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre - ENSATT, Lyon Julia Hladun - École nationale supérieure d’architecture Paris La Villette, Paris. Perrine Pateyron - Haute école des arts du Rhin - HEAR, Strasbourg. Christianne Pit - École nationale supérieure des Arts Décoratifs - EnsAD, Paris. Saymon Stasiak - École nationale supérieure d’architecture Paris-Malaquais, Paris. Commissaires du pavillon Nina Chalot et Cyril Teste Marraine du projet Céline Pelcé Coordination ARTCENA Avec le soutien du Fonds de dotation Verrecchia, de la Maison Jacques Copeau, du Monfort théâtre et du collectif MXM.
Explorant la rareté des ressources-eaux comme celle de la rencontre, la Neuvième école propose We do not own the water, l’installation urbaine d’un objet fontaine, figure narrative d’une source perdue. L’eau n’a pas de circuit défini mais transpire à travers la matière, infuse en tout et cependant ne jaillit pas. C’est cette souveraineté, et son imprévisibilité, qu’incarne l’objet fontaine de la Neuvième école, fiction minérale, verticale et poreuse. Quelle conversation peut-on créer avec une eau que l’on ne gouverne pas ? En recherche d’une hospitalité radicale, et s’accordant avec la qualité fédératrice de l’eau, le collectif active cette fontaine à travers la mise en scène de gestes et de rencontres.
Collectif de la Neuvième école pour la Quadriennale de Prague de 2023 Sarah Barzic - École du Théâtre national de Strasbourg - TNS, Strasbourg. Hortense Gavriloff - École nationale supérieure d’architecture de Nantes - Ensa, Nantes. Blandine Granier - École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre - ENSATT, Lyon Julia Hladun - École nationale supérieure d’architecture Paris La Villette, Paris. Perrine Pateyron - Haute école des arts du Rhin - HEAR, Strasbourg. Christianne Pit - École nationale supérieure des Arts Décoratifs - EnsAD, Paris. Saymon Stasiak - École nationale supérieure d’architecture Paris-Malaquais, Paris. Commissaires du pavillon Nina Chalot et Cyril Teste Marraine du projet Céline Pelcé Coordination ARTCENA Avec le soutien du Fonds de dotation Verrecchia, de la Maison Jacques Copeau, du Monfort théâtre et du collectif MXM.
Entrez dans le panorama et partez à la rencontre d’artistes en devenir, d’artistes devenus. Que signifie être artiste aujourd’hui ? PANORAMA, c’est une invitation à parcourir le Théâtre de la Cité internationale et ses environs comme une table de montage cinématographique. Au fil des déplacements, séquence par séquence, lieu après lieu, c’est un documentaire inédit de ces jeunes artistes au travail qui se fabrique. Chaque séquence mène ainsi à une rencontre, tantôt fortuite, parfois distanciée, souvent intime ou invisible. Ces artistes, tous récemment diplômés d’écoles nationales d’art, y interrogent leur émergence au monde dans le temps du réel, dans un dialogue des pensées les plus intimes, dans les inspirations et les convictions qu’ils se partagent. Quelle que soit la discipline, la forme, le style, toutes ces propositions mélangent des univers singuliers et une vision commune de la création pour façonner un palimpseste géant, un chantier constamment en élaboration, qui résonne dans tout l’espace du Théâtre de la Cité internationale, intérieur et extérieur
Direction artistique Cyril Teste Assistantes à la direction artistique Eva Carmen Jarriau & Nina Chalot
Avec Olga Abolina (École du TNB) Alexandre Auvergne (CNSAD) Maria Aziz Alaoui (ESAD) Salomé Bloch (ENSATT) Maxime Crescini (École du Nord) Margot Delabouglise (éstba) Melisande Dorvault (ESAD) Jeanne Durouchoux (CNSMD-Paris) Mikaël-don Giancarli (CNSAD) Amélie Gratias (École du TNB) Antoine Heuillet (École du Nord) Antoine Kobi (CNSAD) Christian-Romain Kossa (ICI – Centre chorégraphique national de Montpellier) Agathe Lecat (CNSMD-Paris) Léo Martin (ENSATT) Balthazar Monge (éstba) Cesare Moretti (éstba) Georgia Tavares (ENSATT) Christophe Vauthey (ENSATT) Padrig Vion (CNSAD) Gauthier Wahl (ESAD) Margault Willkomm (École du TNS)
Dramaturgie Leila Adham Scénographie Nina Chalot Design graphique & Signalétique Jauneau Vallance Workshop culinaire Céline Pelcé Broderie Farooq Gul - association we came from Lumière & Régie générale Julien Boizard Cadreur-opérateur Nicolas Doremus Ingénieur du son Thibault Lamy Vidéo Mehdi Toutain-Lopez Administration & Production Ludivine Rhein & Anaïs Cartie
PANORAMA par les étudiants boursiers de la première promotion Artistes dans la Cité, avec Cyril Teste, Théâtre de la Cité internationale, Paris, 2022 © Simon Gosselin / Fondation d’entreprise Hermès
Entrez dans le panorama et partez à la rencontre d’artistes en devenir, d’artistes devenus. Que signifie être artiste aujourd’hui ? PANORAMA, c’est une invitation à parcourir le Théâtre de la Cité internationale et ses environs comme une table de montage cinématographique. Au fil des déplacements, séquence par séquence, lieu après lieu, c’est un documentaire inédit de ces jeunes artistes au travail qui se fabrique. Chaque séquence mène ainsi à une rencontre, tantôt fortuite, parfois distanciée, souvent intime ou invisible. Ces artistes, tous récemment diplômés d’écoles nationales d’art, y interrogent leur émergence au monde dans le temps du réel, dans un dialogue des pensées les plus intimes, dans les inspirations et les convictions qu’ils se partagent. Quelle que soit la discipline, la forme, le style, toutes ces propositions mélangent des univers singuliers et une vision commune de la création pour façonner un palimpseste géant, un chantier constamment en élaboration, qui résonne dans tout l’espace du Théâtre de la Cité internationale, intérieur et extérieur
Direction artistique Cyril Teste Assistantes à la direction artistique Eva Carmen Jarriau & Nina Chalot
Avec Olga Abolina (École du TNB) Alexandre Auvergne (CNSAD) Maria Aziz Alaoui (ESAD) Salomé Bloch (ENSATT) Maxime Crescini (École du Nord) Margot Delabouglise (éstba) Melisande Dorvault (ESAD) Jeanne Durouchoux (CNSMD-Paris) Mikaël-don Giancarli (CNSAD) Amélie Gratias (École du TNB) Antoine Heuillet (École du Nord) Antoine Kobi (CNSAD) Christian-Romain Kossa (ICI – Centre chorégraphique national de Montpellier) Agathe Lecat (CNSMD-Paris) Léo Martin (ENSATT) Balthazar Monge (éstba) Cesare Moretti (éstba) Georgia Tavares (ENSATT) Christophe Vauthey (ENSATT) Padrig Vion (CNSAD) Gauthier Wahl (ESAD) Margault Willkomm (École du TNS)
Dramaturgie Leila Adham Scénographie Nina Chalot Design graphique & Signalétique Jauneau Vallance Workshop culinaire Céline Pelcé Broderie Farooq Gul - association we came from Lumière & Régie générale Julien Boizard Cadreur-opérateur Nicolas Doremus Ingénieur du son Thibault Lamy Vidéo Mehdi Toutain-Lopez Administration & Production Ludivine Rhein & Anaïs Cartie
PANORAMA par les étudiants boursiers de la première promotion Artistes dans la Cité, avec Cyril Teste, Théâtre de la Cité internationale, Paris, 2022 © Simon Gosselin / Fondation d’entreprise Hermès
Scénographie et collaboration à la direction artistique du défilé Hermès homme, hiver 2023.
Collection Véronique Nichanian Direction artistique Cyril Teste Création du contenu vidéo Hugo Arcier Captation Benoit Debbie Cyril Teste Expertise vidéo et captation Mehdi Toutain-Lopez Réalisation live Remy Doang NGuyen Lumière Julien Boizard Assistant à la mise en scène Sylvère Santin Crédits photographiques Dham Srifuengfung
Scénographie et collaboration à la direction artistique du défilé Hermès homme, hiver 2023.
Collection Véronique Nichanian Direction artistique Cyril Teste Création du contenu vidéo Hugo Arcier Captation Benoit Debbie Cyril Teste Expertise vidéo et captation Mehdi Toutain-Lopez Réalisation live Remy Doang NGuyen Lumière Julien Boizard Assistant à la mise en scène Sylvère Santin Crédits photographiques Dham Srifuengfung
La présence du four du XVIIIème en activité sur le territoire du Centre International d’Art et du Paysage positionne la boulangerie en interlocuteur principal pour de nombreux visiteurs. Il existe pour certains une opposition perçue entre d’une part un artisanat authentique et accessible et d’autre part un centre d’Art International.
Ancien animateur et éducateur, Benoit Brissot, gestionnaire de la «Pierre à pain», souhaite promouvoir une pratique de la boulangerie ouverte à plusieurs facettes : expérimentale, pédagogique et culturelle. Nous entammons avec lui une réflexion sur le positionnement et l'image de la boulangerie afin de valoriser ses nombreuses collaborations avec des artistes et d'inscrire durablement l'activité de la boulangerie en harmonie avec l'écosystème singulier de l'île de Vassivière.
Avec Emilie Hirayama
Boulanger Benoit Brissot
La présence du four du XVIIIème en activité sur le territoire du Centre International d’Art et du Paysage positionne la boulangerie en interlocuteur principal pour de nombreux visiteurs. Il existe pour certains une opposition perçue entre d’une part un artisanat authentique et accessible et d’autre part un centre d’Art International.
Ancien animateur et éducateur, Benoit Brissot, gestionnaire de la «Pierre à pain», souhaite promouvoir une pratique de la boulangerie ouverte à plusieurs facettes : expérimentale, pédagogique et culturelle. Nous entammons avec lui une réflexion sur le positionnement et l'image de la boulangerie afin de valoriser ses nombreuses collaborations avec des artistes et d'inscrire durablement l'activité de la boulangerie en harmonie avec l'écosystème singulier de l'île de Vassivière.
Avec Emilie Hirayama
Boulanger Benoit Brissot
Scénographie et collaboration à la direction artistique du défilé de la collection Hermès homme été 2022 .
Collection Véronique Nichanian Direction artistique Cyril Teste Captation Benoit Debbie Cyril Teste Réalisation live Mehdi Toutain-Lopez Nicolas Dorémus Lumière Julien Boizard Assistants à la mise en scène Céline Gaudier Sylvère Santin Crédits photographiques Dham Srifuengfung
Scénographie et collaboration à la direction artistique du défilé de la collection Hermès homme été 2022 .
Collection Véronique Nichanian Direction artistique Cyril Teste Captation Benoit Debbie Cyril Teste Réalisation live Mehdi Toutain-Lopez Nicolas Dorémus Lumière Julien Boizard Assistants à la mise en scène Céline Gaudier Sylvère Santin Crédits photographiques Dham Srifuengfung
Farooq est brodeur, originaire d’Afghanistan. Alors demandeur d’asile, lui vient l’idée de broder sur son sweatshirt le nom de sa ville d’origine: Kabul. Ce geste simple sonne comme un manifeste, un besoin de visibilité, d’existence. Par cette action, il détourne les vêtements touristiques aux noms des grandes capitales occidentales, inversant le modèle de valeurs.
Design graphique Jauneau Vallance Photographies François Prost
Farooq est brodeur, originaire d’Afghanistan. Alors demandeur d’asile, lui vient l’idée de broder sur son sweatshirt le nom de sa ville d’origine: Kabul. Ce geste simple sonne comme un manifeste, un besoin de visibilité, d’existence. Par cette action, il détourne les vêtements touristiques aux noms des grandes capitales occidentales, inversant le modèle de valeurs.
Design graphique Jauneau Vallance Photographies François Prost
Scénographie et collaboration à la direction artistique du défilé Hermès collection homme hiver 2022.
Collection Véronique Nichanian Direction artistique Cyril Teste Captation live Cyril Teste Réalisation live Mehdi Toutain-Lopez Nicolas Dorémus Lumière Julien Boizard Assistants à la mise en scène Céline Gaudier Sylvère Santin
Scénographie et collaboration à la direction artistique du défilé Hermès collection homme hiver 2022.
Collection Véronique Nichanian Direction artistique Cyril Teste Captation live Cyril Teste Réalisation live Mehdi Toutain-Lopez Nicolas Dorémus Lumière Julien Boizard Assistants à la mise en scène Céline Gaudier Sylvère Santin
Les cinq films de la série “Sortis d’usine” sont construits autour d’objets du quotidien. Présents dans chaque instant de nos journées, ils sont tellement anodins qu’ils en deviennent presque invisibles. Pourtant, le processus de fabrication qui leur donne vie est fascinant.
Brique, enveloppe, balai brosse, trombone sont notre point de départ. Glânés au fil du temps, nous en avons formés des collections. Nous souhaitons les mettre en scène en réalisant de courts films montrant leur fabrication et leur variété de formes. Chaque objet est l’occasion d’aller à la rencontre d’une usine en France et d’en montrer son patrimoine humain et industriel.
À chaque typologie son histoire, et ses protagonistes : les ouvriers des usines, la matière, les outils, les machines, les objets.
Avec Émilie Hirayama.
Son Thibault Lamy et Lucie Damianthe
Une commande du Centre Pompidou dans le cadre de la web-série Mon Oeil.
Les cinq films de la série “Sortis d’usine” sont construits autour d’objets du quotidien. Présents dans chaque instant de nos journées, ils sont tellement anodins qu’ils en deviennent presque invisibles. Pourtant, le processus de fabrication qui leur donne vie est fascinant.
Brique, enveloppe, balai brosse, trombone sont notre point de départ. Glânés au fil du temps, nous en avons formés des collections. Nous souhaitons les mettre en scène en réalisant de courts films montrant leur fabrication et leur variété de formes. Chaque objet est l’occasion d’aller à la rencontre d’une usine en France et d’en montrer son patrimoine humain et industriel.
À chaque typologie son histoire, et ses protagonistes : les ouvriers des usines, la matière, les outils, les machines, les objets.
Avec Émilie Hirayama.
Son Thibault Lamy et Lucie Damianthe
Une commande du Centre Pompidou dans le cadre de la web-série Mon Oeil.
J’aime que soit présent l’artisan, le travail ; qu’on y sente à la fois la force de la communauté et le chaos du chantier » Martin Rauch
Monter sur la crête de cette colline de Saint-Amand-Le-Petit, battue par les vents et la pluie, exposée au soleil. Sur le chemin, à droite, derrière la stabulation dans la pente : la carrière de terre. Face à vous, trois “éprouvettes” de près de trois mètres de haut en pisé que les éléments commencent à altérer. La terre crue, poreuse et friable, n’aime pas l’eau. Trois de ces éprouvettes comportent des inclusions de terre cuite émaillée, imperméables et pérennes, qui ralentissent la vitesse de l’eau et modulent l’érosion. C’est notre hypothèse.
Les observer en détail. Les toucher. Comment se comporte le témoin de pisé nu face à l’action de la pluie ? Les lignes en terre cuite continues permettent-elles de mieux maîtriser l’érosion du totem voisin ? En divisant de moitié la matière durcie par des fours énergivores, le pisé de la troisième éprouvette résiste-t-il de manière tout aussi satisfaisante ? Aidez-nous à décrire l’évolution au fil des saisons du pisé pour chacune de ces éprouvettes, en participant au protocole d’observation proposé près de l’œuvre.
En collaboration avec Nicolas Bouisson et Hugo Crespy de FORALL, Studio d'architecture
Le projet a été financé par la Caisse des Dépots et consignations et commandité par le Centre International d'Art et du Paysage à Vassivière.
Partenaires et soutiens au projet Erosion : Daurian Vauzelle – M.A.M.O.T.H. architecture, l’association HUDA de Peyrat-le-Château, Les Rairies Montrieux, l’exploitation de carrière ROCA de Saint-Julien-le-Petit et la Commune de Saint-Amand-le-Petit.
J’aime que soit présent l’artisan, le travail ; qu’on y sente à la fois la force de la communauté et le chaos du chantier » Martin Rauch
Monter sur la crête de cette colline de Saint-Amand-Le-Petit, battue par les vents et la pluie, exposée au soleil. Sur le chemin, à droite, derrière la stabulation dans la pente : la carrière de terre. Face à vous, trois “éprouvettes” de près de trois mètres de haut en pisé que les éléments commencent à altérer. La terre crue, poreuse et friable, n’aime pas l’eau. Trois de ces éprouvettes comportent des inclusions de terre cuite émaillée, imperméables et pérennes, qui ralentissent la vitesse de l’eau et modulent l’érosion. C’est notre hypothèse.
Les observer en détail. Les toucher. Comment se comporte le témoin de pisé nu face à l’action de la pluie ? Les lignes en terre cuite continues permettent-elles de mieux maîtriser l’érosion du totem voisin ? En divisant de moitié la matière durcie par des fours énergivores, le pisé de la troisième éprouvette résiste-t-il de manière tout aussi satisfaisante ? Aidez-nous à décrire l’évolution au fil des saisons du pisé pour chacune de ces éprouvettes, en participant au protocole d’observation proposé près de l’œuvre.
En collaboration avec Nicolas Bouisson et Hugo Crespy de FORALL, Studio d'architecture
Le projet a été financé par la Caisse des Dépots et consignations et commandité par le Centre International d'Art et du Paysage à Vassivière.
Partenaires et soutiens au projet Erosion : Daurian Vauzelle – M.A.M.O.T.H. architecture, l’association HUDA de Peyrat-le-Château, Les Rairies Montrieux, l’exploitation de carrière ROCA de Saint-Julien-le-Petit et la Commune de Saint-Amand-le-Petit.
La trottinette électrique remplace la marche, mais elle ne remplace pas la voiture. Sous couvert de liberté individuelle sans limite et de mobilité extrême et débridée, l’usager se déplace sans mouvement. Lui et son véhicule fusionnent temporairement en une nouvelle entité. L’homme-trottinette et la femme-trottinette se déplacent par translation dans le référentiel ville, de manière uniforme et inerte. Ils accélèrent comme s’ils étaient libres, mais ils ne font pas un geste, ils sont privés de mouvement. Ils vont seuls. Quelques gestes infimes subsistent tout de même. Des gestes absents. Nous inventorions ce vocabulaire étroit et silencieux. Il nous faut l’approprier, l’amplifier et le réincarner dans la danse. Déplacer l’inertie. Retrouver de la liberté dans ces mouvements immobiles.
Collaboration avec Romain Delamart Performers Rémi N'Guyen, Flora Langlois, Flora Fixi, Florence Campana, Hugues Couverchel, Alix Maheke, Hélène Combal-Weiss.
La trottinette électrique remplace la marche, mais elle ne remplace pas la voiture. Sous couvert de liberté individuelle sans limite et de mobilité extrême et débridée, l’usager se déplace sans mouvement. Lui et son véhicule fusionnent temporairement en une nouvelle entité. L’homme-trottinette et la femme-trottinette se déplacent par translation dans le référentiel ville, de manière uniforme et inerte. Ils accélèrent comme s’ils étaient libres, mais ils ne font pas un geste, ils sont privés de mouvement. Ils vont seuls. Quelques gestes infimes subsistent tout de même. Des gestes absents. Nous inventorions ce vocabulaire étroit et silencieux. Il nous faut l’approprier, l’amplifier et le réincarner dans la danse. Déplacer l’inertie. Retrouver de la liberté dans ces mouvements immobiles.
Collaboration avec Romain Delamart Performers Rémi N'Guyen, Flora Langlois, Flora Fixi, Florence Campana, Hugues Couverchel, Alix Maheke, Hélène Combal-Weiss.
Les retoucheries sont des espaces de liberté : indépendants, les retoucheurs et retoucheuses travaillent les vêtements standards pour les faire devenir uniques. Leur domaine d’action est infini. Leur regard et l’attention portée à ces objets en série, parfois de mauvaise facture, les fait devenir précieux. Il en résulte des semi-produits, ourlets et surpiqués par le bas, parfois présentant un élément d’ornementation, et ouverts par le haut.
Retouches est un tapis en dégradé réalisé à partir de chutes de bas de pantalons glanés dans les boutiques de retouches des 18ème, 19ème et 20ème arrondissements de Paris. Il réunit les fragments non utilisés de pantalons portés par les habitants de ces quartiers et en révèle les individualités au travers des matières, des couleurs et des formats. Il met aussi en avant des similarités : la prédominance du jean, des couleurs plutôt froides et sombres.
Collaboration avec Romain Delamart
Les retoucheries sont des espaces de liberté : indépendants, les retoucheurs et retoucheuses travaillent les vêtements standards pour les faire devenir uniques. Leur domaine d’action est infini. Leur regard et l’attention portée à ces objets en série, parfois de mauvaise facture, les fait devenir précieux. Il en résulte des semi-produits, ourlets et surpiqués par le bas, parfois présentant un élément d’ornementation, et ouverts par le haut.
Retouches est un tapis en dégradé réalisé à partir de chutes de bas de pantalons glanés dans les boutiques de retouches des 18ème, 19ème et 20ème arrondissements de Paris. Il réunit les fragments non utilisés de pantalons portés par les habitants de ces quartiers et en révèle les individualités au travers des matières, des couleurs et des formats. Il met aussi en avant des similarités : la prédominance du jean, des couleurs plutôt froides et sombres.
Collaboration avec Romain Delamart
Tabourets réalisés par Karam Katerji dans la cadre du programme d’insertion d’artisans migrants de l’association La Fabrique nomade.
Originaire de Hassaka en Syrie, pays de terres agricoles, Karam étudie à l’université d’Alep pour devenir ingénieur agronome. De retour dans sa ville d’origine après ses études, il ouvre un atelier avec son frère de fabrication de pièces de machines agricoles. Il vit en France depuis 2016.
Réalisation Karam Katerji, accueilli par l’atelier Métal design
Tabourets réalisés par Karam Katerji dans la cadre du programme d’insertion d’artisans migrants de l’association La Fabrique nomade.
Originaire de Hassaka en Syrie, pays de terres agricoles, Karam étudie à l’université d’Alep pour devenir ingénieur agronome. De retour dans sa ville d’origine après ses études, il ouvre un atelier avec son frère de fabrication de pièces de machines agricoles. Il vit en France depuis 2016.
Réalisation Karam Katerji, accueilli par l’atelier Métal design
À travers plus de 300 documents se déploie une galerie éloquente de protagonistes, qu’ils soient marchands, commissaires-priseurs, experts ou bien encore conservateurs de musées. Pour bien comprendre le rôle de chacun dans le contexte historique, on entre dans le lieu de leurs agissements : galeries d’art parisiennes, salles de ventes aux enchères à Paris mais également à Nice. La scénographie immerge le visiteur dans ces univers suggérés, où les documents d’archives prennent le rôle d’élément du décor.
Commanditaire Mémorial de la Shoah Commissariat scientifique Emmanuelle Polack Commissariat et coordination Marie-Édith Agostini Scénographie Nina Chalot pour RF Studio Signalétique Atelier Baudelaire Créations Audiovisuelles Matthieu Foulet Créations Sonores Bertrand Gauguet
À travers plus de 300 documents se déploie une galerie éloquente de protagonistes, qu’ils soient marchands, commissaires-priseurs, experts ou bien encore conservateurs de musées. Pour bien comprendre le rôle de chacun dans le contexte historique, on entre dans le lieu de leurs agissements : galeries d’art parisiennes, salles de ventes aux enchères à Paris mais également à Nice. La scénographie immerge le visiteur dans ces univers suggérés, où les documents d’archives prennent le rôle d’élément du décor.
Commanditaire Mémorial de la Shoah Commissariat scientifique Emmanuelle Polack Commissariat et coordination Marie-Édith Agostini Scénographie Nina Chalot pour RF Studio Signalétique Atelier Baudelaire Créations Audiovisuelles Matthieu Foulet Créations Sonores Bertrand Gauguet
Scénographie pour la pièce de théâtre Opening Night mise en scène par Cyril Teste, d’après le scénario du film de John Cassavetes.
Avec Isabelle Adjani, Morgan Lloyd Sicard et Frédéric Pierrot Mise en scène Cyril Teste Direction artistique Ramy Fischler Scénographie Nina Chalot pour RF Studio Création lumière et régie générale Julien Boizard Musique originale Nihil Bordures Vidéo Nicolas Doremus Vidéo en direct Mehdi Toutain-Lopez Chef opérateur son Thibault Lamy Costumes Katia Ferreira Direction de production Nicolas Roux Chargée de production Julie Salles
Scénographie pour la pièce de théâtre Opening Night mise en scène par Cyril Teste, d’après le scénario du film de John Cassavetes.
Avec Isabelle Adjani, Morgan Lloyd Sicard et Frédéric Pierrot Mise en scène Cyril Teste Direction artistique Ramy Fischler Scénographie Nina Chalot pour RF Studio Création lumière et régie générale Julien Boizard Musique originale Nihil Bordures Vidéo Nicolas Doremus Vidéo en direct Mehdi Toutain-Lopez Chef opérateur son Thibault Lamy Costumes Katia Ferreira Direction de production Nicolas Roux Chargée de production Julie Salles
Fondée sur la coexistence d’images filmiques et scéniques, la scénographie entend ouvrir une réflexion sur l’articulation entre vérité et représentation. Elle consiste en un dispositif d’écrans en mouvement capable tout à la fois de suggérer l’enfermement des personnages et la circulation permanente des corps à l’intérieur du huis-clos.
Direction musicale Louis Langrée Mise en scène Cyril Teste Direction artistique Ramy Fischler Scénographie Nina Chalot pour RF Studio Costumes Isabelle Deffin Dramaturgie Leila Adham Lumières Julien Boizard Conception Vidéo Nicolas Dorémus Mehdi Toutain-Lopez
Hamlet Stéphane Degout Ophélie Sabine Devieilhe Claudius Laurent Alvaro Gertrude Sylvie Brunet-Grupposo Laërte Julien Behr Le Spectre Jérôme Varnier Chœur Les éléments Orchestre des Champs-Élysées
Fondée sur la coexistence d’images filmiques et scéniques, la scénographie entend ouvrir une réflexion sur l’articulation entre vérité et représentation. Elle consiste en un dispositif d’écrans en mouvement capable tout à la fois de suggérer l’enfermement des personnages et la circulation permanente des corps à l’intérieur du huis-clos.
Direction musicale Louis Langrée Mise en scène Cyril Teste Direction artistique Ramy Fischler Scénographie Nina Chalot pour RF Studio Costumes Isabelle Deffin Dramaturgie Leila Adham Lumières Julien Boizard Conception Vidéo Nicolas Dorémus Mehdi Toutain-Lopez
Hamlet Stéphane Degout Ophélie Sabine Devieilhe Claudius Laurent Alvaro Gertrude Sylvie Brunet-Grupposo Laërte Julien Behr Le Spectre Jérôme Varnier Chœur Les éléments Orchestre des Champs-Élysées
La Fondation Bettencourt Schueller présente l’exposition « Pour l’intelligence de la main» dont le commissariat est assuré par Alain Lardet dans le cadre de l’exposition internationale dédiée aux métiers d’art européens «Homo Faber, crafting a human future» organisée par la fondation Michelangelo à la fondation Giorgio Cini à Venise. La scénographie propose un parcours à la fois physique et virtuel qui questionne le rapport entre l’artisanat d’art et la modernité. Elle est conçue en deux temps : une découverte physique des œuvres et une immersion virtuelle dans les ateliers d’artisans d’art. Cette installation, composée de murs en terre crue réalisés par l’atelier d’Amàco, est une prouesse artisanale. Elle valorise le développement de pratiques éco-responsables et met en exergue l’avenir des métiers d’art au temps de la technologie.
Commanditaire Fondation Bettencourt Schueller Commissaire Alain Lardet Direction artistique Ramy fischler Chef de projet et coordination Vincent le Bourdon pour RF Studio Conception scénographique Nina Chalot pour RF Studio Signalétique Atelier Baudelaire Vidéo mapping Nicolas Weyrich Réalisation des murs en terre crue Amàco Réalisation des films en réalité virtuelle Alain Fleischer Production des films Le Fresnoy Expertise pour la diffusion des films MK2 Agency Création olfactive Francis Kurdjian
La Fondation Bettencourt Schueller présente l’exposition « Pour l’intelligence de la main» dont le commissariat est assuré par Alain Lardet dans le cadre de l’exposition internationale dédiée aux métiers d’art européens «Homo Faber, crafting a human future» organisée par la fondation Michelangelo à la fondation Giorgio Cini à Venise. La scénographie propose un parcours à la fois physique et virtuel qui questionne le rapport entre l’artisanat d’art et la modernité. Elle est conçue en deux temps : une découverte physique des œuvres et une immersion virtuelle dans les ateliers d’artisans d’art. Cette installation, composée de murs en terre crue réalisés par l’atelier d’Amàco, est une prouesse artisanale. Elle valorise le développement de pratiques éco-responsables et met en exergue l’avenir des métiers d’art au temps de la technologie.
Commanditaire Fondation Bettencourt Schueller Commissaire Alain Lardet Direction artistique Ramy fischler Chef de projet et coordination Vincent le Bourdon pour RF Studio Conception scénographique Nina Chalot pour RF Studio Signalétique Atelier Baudelaire Vidéo mapping Nicolas Weyrich Réalisation des murs en terre crue Amàco Réalisation des films en réalité virtuelle Alain Fleischer Production des films Le Fresnoy Expertise pour la diffusion des films MK2 Agency Création olfactive Francis Kurdjian
Recherches autour de la production locale d’éléments architecturaux préfabriqués en béton et céramique destinés à la rénovation et à la construction de nouveaux logements, dans un quartier populaire de Los Teques, ville préfecture de l’état de Miranda, située au nord de Caracas. Ces éléments répondent au climat tropical, à la tradition plastique colorée et contrastée présente au Venezuela, aux moyens de productions en oeuvre sur place, et au plaisir de l’appropriation.
Projet lauréat de l’Aide Individuelle à la Création de la Drac Île de France 2017. Finaliste de la bourse Agora pour le design, Ministère de la Culture 2017.
Directeurs de diplôme Jean-François Parent, architecte directeur du Laboratoire International pour l'Habitat Populaire et Matt Sindall, designer.
Maire de Los Teques Francisco Garcés Avec l’aide d’Eqiom et de l’atelier Graines de Terre à Montreuil.
Recherches autour de la production locale d’éléments architecturaux préfabriqués en béton et céramique destinés à la rénovation et à la construction de nouveaux logements, dans un quartier populaire de Los Teques, ville préfecture de l’état de Miranda, située au nord de Caracas. Ces éléments répondent au climat tropical, à la tradition plastique colorée et contrastée présente au Venezuela, aux moyens de productions en oeuvre sur place, et au plaisir de l’appropriation.
Projet lauréat de l’Aide Individuelle à la Création de la Drac Île de France 2017. Finaliste de la bourse Agora pour le design, Ministère de la Culture 2017.
Directeurs de diplôme Jean-François Parent, architecte directeur du Laboratoire International pour l'Habitat Populaire et Matt Sindall, designer.
Maire de Los Teques Francisco Garcés Avec l’aide d’Eqiom et de l’atelier Graines de Terre à Montreuil.
L’exposition présentée à l’ENSCI-Les Ateliers puis à la maison de l’architecture d’Île de France fait l’hypothèse d’une histoire d’amour entre la fabrication industrielle et l’architecture, dont l’entremetteur serait le béton. Elle questionne cette relation via une série de pièces de formes – vidéos, interview sonore, livres, images imprimées, échange épistolaire, carte – et sous des points de vue – sociologique, architectural, politique, technique, personnel – à chaque fois différents.
Sous la direction de Christian Barani Graphisme Agnès Falandry Mécène Holcim France, Betocib, Cimbéton Conseil scientifique Pierre Vuillemin
L’exposition présentée à l’ENSCI-Les Ateliers puis à la maison de l’architecture d’Île de France fait l’hypothèse d’une histoire d’amour entre la fabrication industrielle et l’architecture, dont l’entremetteur serait le béton. Elle questionne cette relation via une série de pièces de formes – vidéos, interview sonore, livres, images imprimées, échange épistolaire, carte – et sous des points de vue – sociologique, architectural, politique, technique, personnel – à chaque fois différents.
Sous la direction de Christian Barani Graphisme Agnès Falandry Mécène Holcim France, Betocib, Cimbéton Conseil scientifique Pierre Vuillemin
1001 Pages en dégradé de bleus, reliées en 5 livres. Chaque page est trempée dans un bain d’encre, créant différents effets et compositions aléatoires. Ces livres ont été présentés lors de la soirée de gala Watermill dont le thème était les 1001 nuits de Shéhérazade.
Commisaires Robert Wilson et Noah Khoshbin
1001 Pages en dégradé de bleus, reliées en 5 livres. Chaque page est trempée dans un bain d’encre, créant différents effets et compositions aléatoires. Ces livres ont été présentés lors de la soirée de gala Watermill dont le thème était les 1001 nuits de Shéhérazade.
Commisaires Robert Wilson et Noah Khoshbin
Expérimentations formelles avec le matériau céramique. Travail de découpe de plaques, de modelage, de textures avec divers outils, engobes et émaux.
Centre André Malraux Dominique Le Gac
Expérimentations formelles avec le matériau céramique. Travail de découpe de plaques, de modelage, de textures avec divers outils, engobes et émaux.
Centre André Malraux Dominique Le Gac
Il est proposé aux enfants de créer une collection de cartes postales à partir de différentes techniques de dessins et de gestes plastiques autour du motif de la mer, en faisant dialoguer l'histoire de l'art et leurs histoires personnelles.
Projet de deux jours commissionné par le Frac d'Île de France, Marie Baloup
Il est proposé aux enfants de créer une collection de cartes postales à partir de différentes techniques de dessins et de gestes plastiques autour du motif de la mer, en faisant dialoguer l'histoire de l'art et leurs histoires personnelles.
Projet de deux jours commissionné par le Frac d'Île de France, Marie Baloup
avec Yaïr Barelli et les étudiantes et étudiants de l'école des Beaux-Arts de Beaune
avec Yaïr Barelli et les étudiantes et étudiants de l'école des Beaux-Arts de Beaune
Le Navire Avenir est le premier navire spécifiquement conçu pour le sauvetage en haute mer porté par des citoyens et des citoyennes européens. Le Navire Avenir est une « œuvre agissante » composée notamment d’acier et de droits, de textiles et de son, de cuisines et de signes, consistant en l’assemblage de 44 pièces, dont le pavillion maritime européen, textile et juridique.
Bâtir un navire de sauvetage pour secourir des personnes migrantes et accueillir leurs désirs d’Europe en mer Méditerranée nécessite de réfléchir aux conditions juridiques de la navigation. Dans le cadre du projet Navire Avenir, un collectif de juristes réfléchit à l’opportunité et à la possibilité de doter le navire d’un pavillon maritime européen. L'association we came from ( farooq Gul et Nina Chalot) s'implique dans ce projet en proposant des ateliers de broderie du pavillion Européen qui sera hissé sur le Navire Avenir, pour ainsi l'enrichir des gestes, des mots, du temps et des désirs de toutes les personnes ayant participé à ces ateliers.
Partenariats École d’art et de design de Saint-Étienne Singa Saint-Étienne Zone Artistique Temporaire de Montpellier École nationale supérieure des arts décoratifs Paris École Normale Supérieure de Paris Gaîté Lyrique
Le Navire Avenir est le premier navire spécifiquement conçu pour le sauvetage en haute mer porté par des citoyens et des citoyennes européens. Le Navire Avenir est une « œuvre agissante » composée notamment d’acier et de droits, de textiles et de son, de cuisines et de signes, consistant en l’assemblage de 44 pièces, dont le pavillion maritime européen, textile et juridique.
Bâtir un navire de sauvetage pour secourir des personnes migrantes et accueillir leurs désirs d’Europe en mer Méditerranée nécessite de réfléchir aux conditions juridiques de la navigation. Dans le cadre du projet Navire Avenir, un collectif de juristes réfléchit à l’opportunité et à la possibilité de doter le navire d’un pavillon maritime européen. L'association we came from ( farooq Gul et Nina Chalot) s'implique dans ce projet en proposant des ateliers de broderie du pavillion Européen qui sera hissé sur le Navire Avenir, pour ainsi l'enrichir des gestes, des mots, du temps et des désirs de toutes les personnes ayant participé à ces ateliers.
Partenariats École d’art et de design de Saint-Étienne Singa Saint-Étienne Zone Artistique Temporaire de Montpellier École nationale supérieure des arts décoratifs Paris École Normale Supérieure de Paris Gaîté Lyrique
Un fruit... un légume... un animal... un vêtement... une plante... qui te rappelle ton pays.
L'association Droit à l’école soutient les Mineur.e.s Non Accompagné.e.s (MNA) exilé.e.s dans leurs démarches de scolarisation vers une école de la République française. Ces mineur.e.s sont livré.e.s à elleux-mêmes car iels ne sont pas encore pris.e.s en charge par l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE). Dans ce cadre we came from (Farooq Gul et Nina Chalot) collabore à la réalisation d’une fresque collective brodée à partir des dessins des enfants. La fresque est offerte lors d'une performance à marionnette géante Amal, de Good Chance Theatre de passage à Paris.
Atelier mené par Farooq Gul, Flora Langlois (La Falaise), les élèves de l'association Droit à l'école conception et réalisation Farooq Gul, Nina Chalot
Un fruit... un légume... un animal... un vêtement... une plante... qui te rappelle ton pays.
L'association Droit à l’école soutient les Mineur.e.s Non Accompagné.e.s (MNA) exilé.e.s dans leurs démarches de scolarisation vers une école de la République française. Ces mineur.e.s sont livré.e.s à elleux-mêmes car iels ne sont pas encore pris.e.s en charge par l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE). Dans ce cadre we came from (Farooq Gul et Nina Chalot) collabore à la réalisation d’une fresque collective brodée à partir des dessins des enfants. La fresque est offerte lors d'une performance à marionnette géante Amal, de Good Chance Theatre de passage à Paris.
Atelier mené par Farooq Gul, Flora Langlois (La Falaise), les élèves de l'association Droit à l'école conception et réalisation Farooq Gul, Nina Chalot
La terre crue est poreuse, friable, peu coûteuse en énérgie, rugueuse, terne, épaisse. La terre cuite est stable, peut-être brillante, nécéssite une cuisson ou deux, douce, colorée, formée précisément. Je propose au groupe d’étudiant.e.s de mettre en place une démarche expérimentale autour de la technique du pisé, et des propriétés de ses composantes, en y ajoutant des déchets industriels de terre cuite émaillée.
Sur une invitation d'Indiana Collet Barquero
La terre crue est poreuse, friable, peu coûteuse en énérgie, rugueuse, terne, épaisse. La terre cuite est stable, peut-être brillante, nécéssite une cuisson ou deux, douce, colorée, formée précisément. Je propose au groupe d’étudiant.e.s de mettre en place une démarche expérimentale autour de la technique du pisé, et des propriétés de ses composantes, en y ajoutant des déchets industriels de terre cuite émaillée.
Sur une invitation d'Indiana Collet Barquero
Élèves en année préparatoire aux écoles d'art et élèves des pratiques amateures sont réunis sur le temps d'un week-end pour aborder le matériau céramique comme moyen de comprendre et de représenter lʼarchitecture qui les entoure. La villa Art nouveau qui accueille l'école d'art de Sète est un lieu unique présentant beaucoup dʼéléments dʼornementation et manufacturés, des savoir-faire aujourdʼhui perdus ou peu valorisés. On y trouve un travail remarquable du bois, du verre du staff, du marbre. Malheureusement certains de ces éléments sont dégradés, il leur manque un morceau, un pièce du puzzle. Durant ce workshop les étudiants seront amenés à sʼimpliquer envers les détails du bâti de leur lieu de vie et dʼétudes.
À l'invitation de Suzy Lelièvre et Marie-Claire Esposito.
Élèves en année préparatoire aux écoles d'art et élèves des pratiques amateures sont réunis sur le temps d'un week-end pour aborder le matériau céramique comme moyen de comprendre et de représenter lʼarchitecture qui les entoure. La villa Art nouveau qui accueille l'école d'art de Sète est un lieu unique présentant beaucoup dʼéléments dʼornementation et manufacturés, des savoir-faire aujourdʼhui perdus ou peu valorisés. On y trouve un travail remarquable du bois, du verre du staff, du marbre. Malheureusement certains de ces éléments sont dégradés, il leur manque un morceau, un pièce du puzzle. Durant ce workshop les étudiants seront amenés à sʼimpliquer envers les détails du bâti de leur lieu de vie et dʼétudes.
À l'invitation de Suzy Lelièvre et Marie-Claire Esposito.
À partir de représentations en élévation, reproduire, le plus fidèlement et avec les mains comme seul outil, les buildings les plus récents de la city de Londres. Trois couleurs sont proposées, celle de la terre et deux engobes gris et blancs.
Classe de 4ème de Margot Desjardins, Collège Travail Langevin, Bagnolet.
À partir de représentations en élévation, reproduire, le plus fidèlement et avec les mains comme seul outil, les buildings les plus récents de la city de Londres. Trois couleurs sont proposées, celle de la terre et deux engobes gris et blancs.
Classe de 4ème de Margot Desjardins, Collège Travail Langevin, Bagnolet.
L’actualité nous fait porter chaque jour un masque, qui nous cache plutôt qu’il nous dévoile. Originellement les masques du monde étaient réalisés
pour exprimer — la colère, la terreur, la folie. Je propose un atelier ou chaque enfant choisira un sentiment, une sensation, qu’il devra d’illustrer dans la réalisation d’un masque en céramique.
Avec Shikhar Bardhwaj
Commanditaires Centre Tignous d'art contemporain
Ville de Montreuil
L’actualité nous fait porter chaque jour un masque, qui nous cache plutôt qu’il nous dévoile. Originellement les masques du monde étaient réalisés
pour exprimer — la colère, la terreur, la folie. Je propose un atelier ou chaque enfant choisira un sentiment, une sensation, qu’il devra d’illustrer dans la réalisation d’un masque en céramique.
Avec Shikhar Bardhwaj
Commanditaires Centre Tignous d'art contemporain
Ville de Montreuil
Collection d'empreintes de mains et de pieds dans la terre, de différentes positions, expressions, morphologies. Création d’une texture ou d’un motif pouvant être répété à l’infini. L’expérimentation frôle la danse ou la performance. Nous n'utilisons pas d'outils.
Classe de CP d'Emilien Gardère, École Éléméntaire Arangon, Pantin.
Collection d'empreintes de mains et de pieds dans la terre, de différentes positions, expressions, morphologies. Création d’une texture ou d’un motif pouvant être répété à l’infini. L’expérimentation frôle la danse ou la performance. Nous n'utilisons pas d'outils.
Classe de CP d'Emilien Gardère, École Éléméntaire Arangon, Pantin.
Utiliser la machine d'extrusion de colombins pour réaliser de grandes formes en terre, puis les transformer en monstres. Faire de ces monstres une exposition dans le jardin.
Commanditaire Centre Tignous d'art contemporain
Utiliser la machine d'extrusion de colombins pour réaliser de grandes formes en terre, puis les transformer en monstres. Faire de ces monstres une exposition dans le jardin.
Commanditaire Centre Tignous d'art contemporain
Travail avec une classe de CP autour de l'architecture de leur école, à partir de leur vécu personnel des lieux.
École élémentaire Anatole France, Rouen.
Travail avec une classe de CP autour de l'architecture de leur école, à partir de leur vécu personnel des lieux.
École élémentaire Anatole France, Rouen.